
Cet article s’éloigne du spectre habituel du blog, quoi que (voir précédent article sur une autre histoire du sport). S’intéresser à la pratique d’activité physique rime souvent avec un intérêt parallèle à la pratique sportive.

Cet article s’éloigne du spectre habituel du blog, quoi que (voir précédent article sur une autre histoire du sport). S’intéresser à la pratique d’activité physique rime souvent avec un intérêt parallèle à la pratique sportive.
Le 15 Juin 2010, arrivait le premier article du blog sur la définition de l’exercice physique.

Les lecteurs du blog se rappellent d’un article de février 2015 qui abordait l’effet de la désirabilité sociale (« l’adéquation connue des comportements observés ou anticipés d’une personne aux motivations ou aux affects réputés des membres typiques d’un collectif social ») sur la mesure par entretien de l’activité physique (AP) et sur son potentiel explicatif de l’écart entre mesure subjective et objective (accéléromètre) de l’AP. Le hasard

Dans le livre « Autoportrait de l’auteur en coureur de fond » de Murakami, l’auteur qui narre son expérience de course à pied au quotidien, ses préparations de marathon, rappelle : « Je préfère le rock, parce que la batterie est ce qui accompagne le mieux le rythme de la course.

La revue Nutrition Clinique et Métabolisme a accepté de publier une lettre à la rédaction rédigée à trois paires de main dont la mienne (disponible ici) 1 . L’idée de cette lettre fait suite au numéro spécial de Décembre 2014 : Les enjeux de l’activité physique : de l’enfant au sénior, du sportif au malade.

Le département Activités Physiques Adaptées de l’Université de Porto a récemment publié un essai contrôlé explorant l’effet d’un programme d’APA (sports collectifs, marche, techniques motivationnelles) sur la condition physique et la qualité de vie d’adultes schizophrènes suivis en ambulatoire.

Voici le texte introductif à la table ronde « Écrire l’Activité Physique Adaptée » du prochain Congrès National des Professionnels en Activité Physique Adaptée (voir le formidable programme). La culture de l’écrit dans le domaine de l’Activité Physique Adaptée reste aujourd’hui peu développée.

Plusieurs articles du blog (ici et là) martèlent un contre message important sur la base de multiples articles (voir la revue de Fie à ce sujet 1 ) : la promotion/prescription de l’activité physique et ou des activités sportives par des soignants (médecins généralistes, spécialistes, infirmières, psychologues…) ne dépend (quasiment) que de leurs habitudes personnelles et de leurs attitudes et croyances envers l’activité

Dans la perspective des précédents articles du blog qui présentaient une approche plus écologique de la promotion de l’activité physique (AP), je présente une revue de littérature francophone sous-presse dans la revue Cahier de Nutrition et de Diététique avec pour titre : Une stratégie pour augmenter l’activité physique : promouvoir l’utilisation des escaliers [1]. Les auteurs rappellent les 3 stratégies

Je partage une Lettre à la Rédaction de la revue L’Encephale que j’ai rédigé, celle-ci est téléchargeable librement durant 50 jours. Il m’est apparu important de porter à la connaissance des lecteurs de cette revue, que les études concernant l’activité physique dans le domaine de la psychiatrie progressent énormément ces dernières années.

Speed-Andrews & Courneya ont redigé un chapitre centré sur les effets de l’activité physique pré-sous-post traitement pour cancer dans l’ouvrage dirigé par Acevedo et al. (1) (déjà utilisé pour l’article sur le modèle écologique de l’activité physique (AP). Dans une sous-partie, ils abordent la question de la fin de vie et de la possibilité d’intervention en APA en soins palliatifs.