
Le Congrès National des Professionnels des Activités Physiques Adaptées a mis en ligne son programme.
Le Congrès National des Professionnels des Activités Physiques Adaptées a mis en ligne son programme.
L’essai randomisé contrôlé « Group Psychotherapy and Home-Based Physical Exercise (GROUP–HOPE) » (1) a fait l’objet d’un sous-investigation. L’étude Group-Hope incluait différents types de participants en terme de cancers diagnostiqués (2). Ainsi, Courney et al. ont souhaité déterminer les facteurs associés à l’adhésion au programme d’activité physique (AP) pour le groupe expérimental.
Dans la suite du précédent article, examinons aujourd’hui une étude de Courneya et al. (2009) (1). Celle-ci explore les facteurs prédicteurs de l’activité physique (AP) 6 mois après avoir participé à un programme d’AP (étude START) (2) durant un traitement par chimiothérapie chez des femmes traitées pour un cancer du sein.
Ces derniers temps, les publications scientifiques aidant, l’intérêt des chercheurs, médecins, oncologues et Enseignants en Activités Physiques Adaptées (APA) s’est accru envers les personnes traités pour différents types de cancer (e.g. sein, prostate, poumon…). Ce blog a déjà traité cette thématique en 2011 et 2012. Si la littérature anglophone (1–3) et même francophone (4) présente les effets bénéfiques et caractéristiques de
La revue Obésité, affiliée à l’Association Française d’Etude et de Recherche sur l’Obésité (AFERO) se propose de faire le point sur l’évolution des connaissances et des idées concernant l’obésité.
L’acronyme CNP-APA, vous ne connaissez pas encore ? La Société Française des Professionnels en Activités Physiques Adaptées organise ce congrès le 4 avril à Bobigny (93). Les trois thématiques traitées seront les suivantes : 1- « La création d’un réseau national d’enseignant en APA (EAPA) : pour une continuité de parcours des patients » 2- « Des études scientifiques à leur application
Le précédent article voulait souligner la place décroissante des sciences de l’éducation lors de la programmation d’Activités Physiques Adaptées (APA) au profit d’une « techno-médicalisation » de l’Enseignant en APA (EAPA). Poursuivant la lecture de ce cours, je retrouve différents critères à partir desquels il apparaît aisé de distinguer un enseignant novice d’expert.
Les échanges avec différents professionnels en Activités Physiques Adaptées sont souvent riches. Ceux-ci vont pouvoir décrire les projets mis en place après de nombreux mois ou années de travail, fourmillent d’anecdotes à propos de patients ou usagers ou peuvent converser sur l’intérêt d’une mise en situation spécifique.
Un précédent article posté sur le blog GERAR questionnait la question de la prescription de l’activité physique (AP). Une enquête récemment publiée vient encore fournir du matériel de réflexion à cette problématique.
Le Blog Activite Physiques adaptees est present au congres de medecine comportementale de la société de médecine comportmentale du Royaume-Uni (programme). 3 jours pour comprendre la place de l’activité physique dans ce champ de recherche et découvrir de nouveaux horizons en activité physique. Par exemple: il y a t il une place pour les génotypes dans la prescription de l activité physique ou le perte de poids ?
La Société Canadienne de Physiologie de l’Exercice, en partenariat avec Société Canadienne de la Sclérose en Plaques a produit un document intitulé : Directives canadiennes en matière d’activité physique à l’intention des adultes atteints de sclérose en plaques. Elles sont fondées sur les résultats de l’analyse systématique des meilleures données probantes disponibles.