
Les professionnels de la prévention, de la promotion de la santé, les enseignants en Activité Physique Adaptée ou les kinésiologues sont familiers avec quelques théories socio-cognitives utilisées dans le champ de la santé.
Les professionnels de la prévention, de la promotion de la santé, les enseignants en Activité Physique Adaptée ou les kinésiologues sont familiers avec quelques théories socio-cognitives utilisées dans le champ de la santé.
Le Centre de ressources sur l’activité physique (PARC) vient de mettre en ligne un guide « Enceinte et active ». Le document est en accès libre et rédigé très clairement. Après un rappel des bénéfices d’une grossesse active, il fournit des conseils, et illustrations d’exercices, d’étirements, ainsi que des contre-indications.
Un article (en accès libre) du numéro de février de la revue Medicine & Science in Sports & Exercis e pose cette question.
Deux précédents articles traitaient de l’activité physique pré-post chirurgie bariatrique. Le second mettait en évidence que l’activité physique et la sédentarité restait respectivement très faible pour l’une et élevée pour l’autre. Du fait des devis des études, on ne pouvait pas réellement savoir si la chirurgie bariatrique entrainait une modification de ces comportements. Un article de la revue Obesity répond à cette question.
Après avoir traité de l’activité physique (AP) chez les candidats à une chirurgie bariatrique, posons-nous la question de l’après, du post-opératoire. On pourrait penser que l’opération entraine un déclic dans les habitudes des personnes, terme que l’on retrouve sous la forme de ‘ teachable moment ’ en anglais. Mais cela ne semble pas être le cas pour l’activité physique.
Tout d’abord qu’est-ce que la chirurgie bariatrique ? La chirurgie bariatrique regroupe actuellement un ensemble de techniques qui peuvent être classées en deux types principaux d’interventions.
Bradley Cardinal a publié un article au titre interpellant, difficilement traduisible en français : If Exercise is Medicine, Where is Exercise in Medicine ? Après avoir dressé le nombre d’études et de recommandations qui suggèrent d’incorporer la promotion de l’activité physique dans le cursus universitaire de médecine, ses collègues et lui s’interrogeaient sur la place réelle de l’activité physique dans les formations médicales.
L’année 2015 se concluait avec la 5e Rencontre en Activité Physique Adaptée (APA) organisée les étudiants STAPS en Master APA. Le thème de la journée était le suivant : ***Les métiers de l’Activité Physique Adaptée et innovation en santé : ingénierie, mise en œuvre et perspectives socio-économiques . ***Plusieurs vidéo sont en ligne, mais ma préférée reste celle de Guillaume Chevance qui présente le référentiel métier de l’Enseignant en APA.
Continuons notre réflexion sur l’activité physique sous ses multiples formes et ses relations avec la santé.
A l’heure où les recommandations internationales soulignent les multiples bénéfices d’une pratique d’activité physique régulière, martelant le message de 150 minutes d’activité physique aérobie hebdomadaire d’intensité modéré ou 75 minutes d’activité physique d’intensité plus intense, si possible couplé à une séance de renforcement musculaire, de nombreuses interprétations sont possibles.
L’article d’aujourd’hui veut traiter d’un récent éditorial dans la revue Sports Medicine . Samuele Marcora rappelle les difficultés des chercheurs et cliniciens à mobiliser la population générale à une pratique d’activité physique (AP) plus importante. Il insiste sur le fait que l’AP est comportement complexe reposant sur des bases psychobiologiques.