
La question des techniques de changement comportement liées à l’augmentation de l’activité physique a peu été abordée sur ce blog, excepté les travaux de M.Gourlan dans le domaine de l’obésité.
La question des techniques de changement comportement liées à l’augmentation de l’activité physique a peu été abordée sur ce blog, excepté les travaux de M.Gourlan dans le domaine de l’obésité.
Qu’est ce que cela donne lorsqu’on évalue objectivement l’activité physique et la sédentarité de 46 personnes en surpoids ou obèses touchés par des troubles schizophréniques ? Un équipe de chercheurs vient de publier les données qui répondent à cette question et mettent en perspectives leurs résultats avec la population générale 1 . Les participants portaient un actimètre Actiwatch durant 7 jours avant d’être répartis dans une
En septembre dernier, un article présentait l’exploration des effets de programmes d’exercice physique à intensité « libre » ou « auto-choisie » chez des adultes dépressifs.
Un nombre important d’essais cliniques a été publié pour décrire les résultats de l’efficacité de l’exercice physique sur la dépression. Les 1er études portaient sur des personnes en bonne santé, puis des adultes avec un niveau de dépression modéré (non clinique) et récemment des investigations voient le jour auprès d’adultes touchés par des troubles dépressifs majeurs cliniques.
L’Association des Chercheurs en Activités Physique et Sportives (ACAPS) tiendra son 26 e congrès du 26-28 octobre à Nantes (France). Les organisateurs ont récemment mis en ligne les actes du congrès en accès libre.
Isreal Halperin et al. viennent de publier une revue de littérature très riche d’enseignements. Par leur revue de littérature, ils décrivent de manière très étayée les variables confondantes qui sont peu ou pas prises en compte dans le domaine de l’évaluation de la condition physique ou d’autres caractéristiques comme la force musculaire, l’équilibre….(Halperin, Pyne, &
L’université du Michigan a mené une étude interventionelle d’envergure pour évaluer les effets d’une intervention de marche collective Walk Your Heart to Health (WYHH). Cette étude visait principalement les quartiers défavorisés à Détroit. L’intervention durait 32 semaines à raison de trois séances de marche de 90 minutes.
Le numéro de La Santé en Action de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) de Septembre 2015 consacre un dossier : « Promouvoir des environnements favorables à la pratique de l’activité physique » (téléchargeable ici). Le numéro développe un premier article très clair sur le passage de l’intention à l’action dans le domaine de l’activité physique (Déterminants individuels de
La lecture de l’introduction du délicieux du Routledge Handbook Mental Health and Physical Activity (Ekkekakis, 2013) souligne un point trop rarement décrit : il existe un biais pro-exercice/activité physique, particulièrement dans le domaine de la littérature scientifique des sciences de l’exercice (« There is pro-exercise bias to, particularly in the exercise literature », p18). Un énorme
De nombreux articles du blog décrivent des études portant sur les effets ou relation entre l’exercice physique ou l’activité physique et la dépression. Dans le cadre précis de la recherche clinique centrée sur l’efficacité de l’AP dans le traitement des épisodes dépressifs majeurs, un nombre important d’études ont menées avec des résultats (dans l’ensemble) positifs.
Didier Delignières a récemment rappelé la décision des sénateurs(trices) sur Loi de modernisation du système de santé, précisément l’Article 35 bis A qui “ prévoyait que le médecin traitant, dans le cadre du parcours de soins des patients atteints d’une maladie de longue durée, puisse prescrire une activité physique adaptée “. Il ajoute “ Nous avons appris cet été que lors de l’examen en Commission des Affaires Sociales du Sénat,