
L’institut National de la Santé et de la Recherche médicale (INSERM) a publié un rapport d’expertise collective intitulé : Inégalité sociales de santé en lien avec l’alimentation et l’activité physique en Mai 2014.
L’institut National de la Santé et de la Recherche médicale (INSERM) a publié un rapport d’expertise collective intitulé : Inégalité sociales de santé en lien avec l’alimentation et l’activité physique en Mai 2014.
Tout d’abord qu’est que la désirabilité et l’approbation sociale ? La désirabilité sociale, se définit comme « l’adéquation connue des comportements observés ou anticipés d’une personne aux motivations ou aux affects réputés des membres typiques d’un collectif social » [1]. L’approbation sociale est le « besoin d’obtenir une réponse positive dans une situation de test » [2]. Il y a une décennie, Adams et al. [3] publiaient une
La question de la diminution de la fatigue perçue chez les personnes touchées par la fibromyalgie ou un syndrome de fatigue chronique ou traitées pour un cancer est un enjeu de taille car celle-ci diminue la qualité de vie de ces personnes et favorise l’apparition de comorbidités physiques (i.e. fonte musculaire) et mentales (e.g. symptômes dépressifs élevés).
Une étude est publiée dans la revue Sciences & Sports [1] avec pour objectif d’évaluer les connaissances des médecins généralistes d’Ille-et-Vilaine et des départements limitrophes en matière de recommandations d’activité physique régulière (AP), ainsi que leur avis et ressenti sur leur prescription écrite.
Un des articles les plus consultés du blog reste celui sur l’activité physique des amish. S’il est vrai qu’il est très original et améliore réellement la compréhension que nous avons de la modification des habitudes de vie contemporaines, il souligne aussi indirectement l’aspect socio-culturel qui peut déterminer l’activité physique.
1-Un an après quasi-jour pour jour, vous pouvez lire l’annonce du 2nd Congrès National des Professionnels des Activités Physiques Adaptées (CNP-APA) l’UFR SMBH de l’université Paris 13 à Bobigny. Une équipe plus étoffée travaille déjà à la seconde édition le 28-29 Mai 2015.
Les Enseignants en Activités Physiques Adaptées, les médecins persuadés par les bienfaits de l’activité physique, les enseignants-chercheurs en santé ou en STAPS et moi-même clamons trop souvent à tort que l’activité physique (AP) est un remède à tout , est efficace dans la diminution de nombreux symptômes, diminue largement l’apparition d’un trouble physique ou mental.
Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2014 de ce blog. En voici un extrait : Cliquez ici pour voir le rapport complet.
Une revue de littérature francophone (accès libre) qui présente l’état des connaissances sur l’organisation de l’activité physique pour la santé au Royaume-Uni. J’ai rédigé cet article afin d’en présenter le contenu, l’évaluation, les intérêts/limites.
Ryan Rhodes, spécialiste canadien de l’activité physique (AP), a tenté de répondre à cette délicate question [1]. Il a effectué une recension systématique de la littérature scientifique anglophone, incluant uniquement des études observationnelles et prospectives d’adultes sans troubles de santé. Sa recherche l’a mené à inclure 81 études dont une majorité nord-américaine et une seule française.
Une étude 1 à paraître vient contredire les faits exposés dans le précédent article. Une équipe de Pittsburgh a demandé à 143 femmes âgées (moyenne d’âge = 73 ans) de porter un actimètre et un « sommeil-mètre » durant 7 jours consécutifs.