Les lutins statisticiens de WordPress.com ont préparé le rapport annuel 2014 de ce blog. En voici un extrait : Cliquez ici pour voir le rapport complet.
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Une revue de littérature francophone (accès libre) qui présente l’état des connaissances sur l’organisation de l’activité physique pour la santé au Royaume-Uni. J’ai rédigé cet article afin d’en présenter le contenu, l’évaluation, les intérêts/limites.

Ryan Rhodes, spécialiste canadien de l’activité physique (AP), a tenté de répondre à cette délicate question [1]. Il a effectué une recension systématique de la littérature scientifique anglophone, incluant uniquement des études observationnelles et prospectives d’adultes sans troubles de santé. Sa recherche l’a mené à inclure 81 études dont une majorité nord-américaine et une seule française.

Une étude 1 à paraître vient contredire les faits exposés dans le précédent article. Une équipe de Pittsburgh a demandé à 143 femmes âgées (moyenne d’âge = 73 ans) de porter un actimètre et un « sommeil-mètre » durant 7 jours consécutifs.

Est ce que un sommeil de pauvre qualité contribue à l’inactivité physique ? Les premières études transversales ont souligné que les adultes insomniaques avaient une condition physique altérée et étaient moins actifs en comparaison à de bons dormeurs.

Christopher Kline vient de publier une revue de littérature 1 qui expose l’état de la littérature à propos des relation entre activité physique et le sommeil. La question du sommeil est enjeu de santé publique car une altération de sa qualité, des symptômes d’insomnie ou une insomnie caractérisée altèrent proportionnellement la santé physique et mentale des individus ainsi que leur qualité de vie.

Dr Gianniki a publié un essai randomisé contrôlé qui compare l’efficacité de l’exercice physique (3fois/sem, 6 mois, 65% FCmac), à la molécule ropinirole (agoniste dopaminergique, marque = Adartrel,6 mois, faible dosage) et un groupe placebo du ropinirole (6 mois ) chez des patients en hémodialyse touchés par le syndrome des jambes sans repos.

Un essai clinique très original vient d’être publié dans Psychiatry Research par une équipe majoritairement iranienne (Salehi et al. 2014) 1 . Cette investigation explore les potentialités de traitements non-pharmacologiques : l’activité physique et la thérapie électroconvulsive.

La revue Schizophrenia Research a publié une lettre à l’éditeur rédigée par deux chercheurs de l’Université de Calgary (Deighton & Addington, 2014). Les auteurs souhaitaient partager un résultat très simple d’une enquête auprès de 80 jeunes adultes, dont 40 ayant fait récemment un premier épisode psychotique.

L’étude TREAD (Treatment with Exercise Augmentation for Depression) a déjà été présentée dans ce blog (Rethorst et al. 2013). Les participants recevaient des antidépresseurs puis étaient répartis aléatoirement dans un groupe faisant une dose importante d’activité physique (AP) importante ou faible durant 12 semaines.
Une équipe québécoise mêlant psychiatres, chercheur en kinésiologie et médecins en soins métaboliques a récemment publié des recommandations pratiques d’utilisation de l’activité physique en prévention secondaire ou tertiaire des troubles cardiovasculaires chez les sujets touchés des troubles schizophréniques.