
Une étude 1 à paraître vient contredire les faits exposés dans le précédent article. Une équipe de Pittsburgh a demandé à 143 femmes âgées (moyenne d’âge = 73 ans) de porter un actimètre et un « sommeil-mètre » durant 7 jours consécutifs.
Une étude 1 à paraître vient contredire les faits exposés dans le précédent article. Une équipe de Pittsburgh a demandé à 143 femmes âgées (moyenne d’âge = 73 ans) de porter un actimètre et un « sommeil-mètre » durant 7 jours consécutifs.
Est ce que un sommeil de pauvre qualité contribue à l’inactivité physique ? Les premières études transversales ont souligné que les adultes insomniaques avaient une condition physique altérée et étaient moins actifs en comparaison à de bons dormeurs.
Christopher Kline vient de publier une revue de littérature 1 qui expose l’état de la littérature à propos des relation entre activité physique et le sommeil. La question du sommeil est enjeu de santé publique car une altération de sa qualité, des symptômes d’insomnie ou une insomnie caractérisée altèrent proportionnellement la santé physique et mentale des individus ainsi que leur qualité de vie.
Dr Gianniki a publié un essai randomisé contrôlé qui compare l’efficacité de l’exercice physique (3fois/sem, 6 mois, 65% FCmac), à la molécule ropinirole (agoniste dopaminergique, marque = Adartrel,6 mois, faible dosage) et un groupe placebo du ropinirole (6 mois ) chez des patients en hémodialyse touchés par le syndrome des jambes sans repos.
Un essai clinique très original vient d’être publié dans Psychiatry Research par une équipe majoritairement iranienne (Salehi et al. 2014) 1 . Cette investigation explore les potentialités de traitements non-pharmacologiques : l’activité physique et la thérapie électroconvulsive.
La revue Schizophrenia Research a publié une lettre à l’éditeur rédigée par deux chercheurs de l’Université de Calgary (Deighton & Addington, 2014). Les auteurs souhaitaient partager un résultat très simple d’une enquête auprès de 80 jeunes adultes, dont 40 ayant fait récemment un premier épisode psychotique.
L’étude TREAD (Treatment with Exercise Augmentation for Depression) a déjà été présentée dans ce blog (Rethorst et al. 2013). Les participants recevaient des antidépresseurs puis étaient répartis aléatoirement dans un groupe faisant une dose importante d’activité physique (AP) importante ou faible durant 12 semaines.
Une équipe québécoise mêlant psychiatres, chercheur en kinésiologie et médecins en soins métaboliques a récemment publié des recommandations pratiques d’utilisation de l’activité physique en prévention secondaire ou tertiaire des troubles cardiovasculaires chez les sujets touchés des troubles schizophréniques.
La BPCO demeure une maladie chronique occupant une place importante dans la santé publique. L’AP est reconnue comme ayant une place importante dans la diminution des symptômes et la prévention des troubles souvent associés comme la détresse psychologique.
La revue de la FNAIR en Septembre 2013 avait publié un article sur le conseil à l’activité physique chez les patients traités par hémodialyse. Valéryane Thooris, Enseignante en Activités Physiques Adaptées présentait une étude de faisabilité basée sur le modèle en 5-A (déjà présenté dans le blog). Cet article est accessible sur le site de la SFP-APA.
Basé sur les principes du conditionnement opérant ou de l’économie comportementale, des études ont exploré l’efficacité de récompenses matérielles ou financières dans le domaine de la perte de poids, du sevrage tabagique ou de la prise d’un traitement. Qu’en est-il dans le domaine de l’activité physique (AP) ? Kelley Strohacker a publié une revue systématique à ce sujet en 2014. Dix études ont été retrouvées.