
Nous avions abordé les recommandations canadiennes d’exercice physique pour un niveau de dépression modéré à élevé. Voici une étude qui pourrait venir compléter les informations du précédent article.
Nous avions abordé les recommandations canadiennes d’exercice physique pour un niveau de dépression modéré à élevé. Voici une étude qui pourrait venir compléter les informations du précédent article.
Un équipe de l’Université du Wisconsin a comparé les effets, sur le niveau de dépression, de différentes intensités d’exercice physique chez des femmes touchées par une dépression majeure. Ainsi 24 participantes réalisaient, dans un ordre aléatoire, trois sessions d’exercice (vélo stationnaire) à une intensité imposée (échelle d’effort perçu à 11, 13, 15) et une session à intensité libre (‘choisissez l’intensité d’exercice que vous préférez’).
L’article fêtant les 6 ans d’existence de l’année 2016 soulignait la volonté de présenter des travaux francophones ciblant l’activité physique dans les pays francophones africains.
Le dernier article présentait les définitions de deux sous-type de dépression, dont la dépression atypique. Rethorst et al. ont publié une analyse secondaire de l’essai clinique ‘TREAD’ (déjà présenté ici). Ils concluent que les personnes diagnostiquées avec une dépression majeure, de sous-type ‘atypique’ répondent plus favorablement à un programme d’exercice physique aérobie équivalent à 150 minutes hebdomadaire durant 12 semaines.
La question des habitudes de vie ou comportements de santé chez les personnes touchées par un trouble mental sévère est peu à peu mise à jour dans des études observationnelles.
Le groupe d’experts canadiens vient récemment de livrer ses conclusions à propos des traitements alternatifs et complémentaires dans le cadre des soins de la dépression. Il dresse un état de littérature scientifique afin de pouvoir réaliser des recommandations les plus factuelles possibles.
Afin de mieux préparer la communication sur les prochaines recommandations d’activité physique de 2017, une enquête souhaite évaluer la connaissance des recommandations de 2011 parmi un échantillon de Canadien (Pfaeffli Dale et al. 2016). La question était la suivante : Avez-vous entendu parler des recommandations d’activité physique pour adulte à leur sortie en 2011 ? Oui (Non Pas sur). Des questions démographiques
Bjornara et al. (2016) développent une idée très originale et riche de réflexion : l’activité physique durable. (article original en accès libre) Dans le sociétés occidentales, l’activité physique et l’effort physique ont été très largement diminués dans notre vie quotidienne : machines d’aide au travail, transports motorisés et activités de loisir sédentaires.
Le niveau d’activité physique (AP) d’adultes touchés par des troubles dépressifs (modérés à élevés) est un facteur qui influence la réponse à un traitement de la dépression.
Le dernier article du blogue concluait « Une nouvelle fois, la relation bidirectionnelle attendue entre activité physique et sommeil n’est pas confirmée. Bien entendu, la mesure uniquement subjective du sommeil est une limite sérieuse ». La littérature scientifique apporte parfois des surprises.
La question des relations entre activité physique et sommeil a fait l’objet de plusieurs articles sur ce blog. Notamment, celui qui décrivait les relations entre activité physique et sommeil au jour le jour chez des femmes âgées. L’ activité physique du jour même ne semblait pas être associée avec le sommeil de la nuit qui suit.